mercredi 11 mai 2011

concept de soi

 L'image de soi est le produit de la façon dont nous croyons que les autres nous voient 

Image de soi  =    La façon dont nous croyons que les autres nous voient.  

      =>   nous agissons fréquemment en fonction de ce que nous pensons que
        les gens attendent de nous et pas en fonction de ce qu'ils attendent
        réellement de nous.  


mercredi 13 avril 2011




HOPE
I hope you find a way to success, i hope you find a dream to realize.


Le débat


Le débat 

I. Le débat dirigé :
a. La préparation :
·       Le débat se prépare et ne s’improvise jamais.
·       Le sujet choisi doit intéresser fortement. Ex : un sujet d’actualité.

b. La répartition des tâches :
§  Le président de séance réfléchit soigneusement au sujet, prépare des questions et des points particuliers, recherche des réponses et des exemples.
§  Deux responsables préparent le sujet selon les deux points de vue les plus opposés. Ils prévoient des questions, des arguments, des faits, des exemples…
§  Les participants connaissent le sujet quelques jours avant la séance (l’intitulé, la situation, les questions, etc.).

c. Le déroulement de la séance :
v Au début, le président présente rapidement le sujet, montre l’intérêt, ouvre des perspectives de discussion et annonce l’organisation générale du débat.
v Au cours de la discussion, il prend des notes, donne la parole et empêche les interruptions, évite les digressions en rappelant le sujet et en faisant le point de la discussion, empêche les interventions trop longues, l’anarchie de la discussion et les conversations particulières. Mais, il ne doit pas imposer son point de vue. Il relance le débat si c’est nécessaire en posant des questions appropriées, essaye de faire parler tout le monde, cherche à faire dialoguer entre eux les participant.
v En fin, il fait une synthèse rapide des opinions présentées, des solutions apportées et des questions laissées en suspens.


d.    Les structures du débat :
(i)          Un responsable présente la thèse. Les participants interviennent. Le deuxième responsable présente l’antithèse.
(ii)        Les responsables présentent leurs idées alternativement, à tour de rôle. Et, la discussion s’engage.
(iii)       Après la présentation du président, la discussion s’ouvre. Les responsables interviennent aux moments opportuns pour avancer les arguments.

II. Le débat libre :
Le débat libre se pratique surtout au sein des petits groupes où il n’y a pas un grand besoin d’organisation. On n’y trouve ni président, ni responsables, mais seulement un organisateur. Les participants échangent leurs idées avec autonomie, franchise et sincérité. En même temps qu’il communique avec autrui, le sujet continue à vivre dans son univers subjectif. Il ne cherche pas à complaire ni à se projeter dans l’image du groupe. Il n’y aura pas de risque à parler, ni de sanction, ni de reproche. Ce type de débat marque donc une grande implication des participants.

Le rôle de l’organisateur :
Il s’efface et il n’intervient que rarement. Sa fonction se résume à reformuler fidèlement les points de vue. Il s’abstient de formuler des jugements, de proposer des interprétations, de donner des questions. A la fin, il témoigne des attitudes qu’il aurait remarquées et il récapitule l’essentiel.

Le rôle de la décision :
Il est souhaitable d’avoir un objectif et de prendre une décision. Celle-ci se définit par quatre questions : quoi (contenu) ? comment (moyen) ? qui (acteurs) ? quand (délai) ?

Principes de tout débat :
ü Clarté et pertinence de l’émetteur,
ü Ecoute active du récepteur,
ü Tolérance, respect et compréhension mutuels.

lundi 4 avril 2011

Les Pas Pour Arriver au Succès


Définition :
Le développement personnel renvoie à toutes les activités proposant de développer une connaissance de soi, de valoriser ses talents et potentiels, de travailler à une meilleure qualité de vie, et à la réalisation de ses aspirations et de ses rêves. Les psychanalystes, les promoteurs de techniques New Age et certains courants du coaching font des propositions de développement personnel pour les particuliers, tandis que les éducateurs et spécialistes du travail, comme l'Organisation internationale du travail (OIT), l'incluent dans les buts institutionnels de l'enseignement supérieur et du travail décent.
Le développement personnel, parfois appelé « épanouissement personnel » ou « croissance personnelle » recouvre un ensemble de pratiques disparates visant à développer des aspects positifs, connus ou inconnus, de sa personnalité ou à atteindre une certaine sagesse.


Historique:
            La plus grande partie des techniques de développement personnel est associée au New Age, lequel aurait trouvé son inspiration dans les années 1920 auprès de la théosophie (Helena Petrovna Blavatsky, Alice Bailey, etc. ), du bouddhisme et de l'hindouisme. Une seconde inspiration serait l'Ère du Verseau de Paul Le Cour mais aussi les valeurs et utopies de la génération "Peace and Love".
            Les années 1970 sont propices à l'exploration psychique, certaines personnes expérimentent la consommation de substances psychotropes, comme le LSD utilisé en premier lieu comme moyen thérapeutique par Timothy Leary


Le Développement personnel dans la psychologie :
C'est principalement les travaux d'Alfred Adler (1870-1937) et de Carl Gustav Jung (1875-1961) qui ont été associées au développement personnel, qui n'existait pas à leur époque.
Alfred Adler refusa de limiter la psychologie à son rôle thérapeutique en insistant sur l’idée que les aspirations humaines sont tournées vers l’avenir et pas seulement le fruit de moteurs inconscients ou d’expériences infantiles. Fondateur de la psychologie individuelle, il est aussi à l’origine du concept de « style de vie », qu’il définit comme une approche personnelle de la vie, où chacun se forge une image de soi et a sa manière de faire face aux problèmes. Ce concept a influencé le management qui l’a traduit par la recherche d’un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
La plupart des concepts du psychiatre suisse Carl Gustav Jung ont été récupéré par les théories modernes du développement personnel, tels la synchronicité, les archétypes, l'inconscient collectif, sa vision du rêve et surtout le concept central dans sa théorie, d'« individuation ». L'individuation traduit le processus par lequel un individu devient une totalité, suivant l'archétype du Soi. Pour Carl Gustav Jung, l’individuation est un processus de différenciation psychologique, destiné à harmoniser les rapports du conscient avec l'inconscient et ayant pour but le développement de la personnalité de l’individu. Les apports de Jung ont nourri en premier lieu les psychothérapies d’inspiration psychanalytique (P.I.P) puis les théories managériales (surtout ses typess pychologiques, avec le MBTI) conduisant au développement personnel, or pour les continuateurs officiels de Jung, beaucoup de ces travaux ont été mécompris. Selon le sociologue Luc Mazenc « l’impact de la pensée de Jung sur la dynamique d’émergence du New Age est fondamental » .
Le concept des stades de vie a été développé dans les années 1970 par le chercheur Daniel Levinson (1920-1994) dans une perspective psycho-sociologique. Bien que les sociologues ont du réviser les stades décrits par Levinson, sa contribution principale pour la recherche en développement personnel est l’influence des aspirations dans le parcours du jeune adulte, ce qu’il appela le « Rêve »


Les passoires conduisent vers le développement du soi :
Etre soi-même :
·         Comment se fait-il qu'il soit difficile d'être soi-même, si c'est notre désir ?
Etre soi-même va de pair avec la connaissance de soi. Ce n'est pas une introspection où l'on essaye de voir en soi, c'est un parcours. Mais c'est un parcours qui fait quand même un peu peur.  Apprendre à se connaître est un chemin qui va nous dévoiler des choses sur nous-mêmes qui ne sont pas idéales.
·         Se dégager des mauvaises images de soi :
Je commence à me dégager quand je comprends que ce que je perçois n'est pas tout moi ou tout l'autre. Comment pouvons-nous vivre ce dégagement ? C'est déjà en arrivant à repérer ce qui en nous est mouvement de colère. Souvent nous ne sommes pas conscients de ce qui se vit en nous.  Souvent La souffrance met le doigt sur quelque chose à changer. Si nous voulons sauver notre bonne image de nous-mêmes, nous nous perdons.
·         Oser être soi...
Un autre point décisif pour habiter sa véritable identité, c'est accepter la différenciation. Ça peut paraître évident mais c'est vraiment une difficulté.  Devenir soi-même c'est vivre une certaine séparation différenciatrice. Là on touche un point délicat. C'est un aménagement mais y a-t-il vraiment séparation intérieure ?
·         .. Et même mieux
"Heureux celui qui devient lui-même !" : aujourd'hui notre monde  met l'accent sur ça. Il y a une exacerbation de l'épanouissement personnel. Devenir moi, c'est de plus en plus vivre que ma valeur ne dépend pas du regard des autres. On a besoin du regard des autres, mais on ne doit pas en être dépendant.


Savoir dire non :
·         Etablir ses limites : une question de survie
L'homme est naturellement  un être de relation. Mais comment établir des relations saines tout en restant parfaitement soi-même ? Autrement dit, comment définir et préserver ses choix personnels..
Savoir quelles sont nos limites et les respecter nous permet de définir qui nous sommes et qui nous ne sommes pas. Formuler ce que l'on ne veut pas.
·         Un certain nombre de choses peuvent nous empêcher d'établir nos limites
  * Une vision déformée des autres. Si nous nous sentons responsables des déceptions des autres,
  * Une vision déformée de soi. On peut croire que poser ses limites, c'est mal.
·         Pour savoir dire non, il faut...

§   Prendre conscience de soi
§  Apprendre à dire non lorsqu'on a envie de dire non, quoi qu'il puisse arriver
§  Arrêter de blâmer les autres, de juger leurs choix ou de leur reprocher notre incapacité à dire non 
Définir nos limites nous permet de construire notre moi et nous aide à choisir ce que nous voulons et pouvons donner.


Astuces pour mal gérer sa vie :
Voici une liste des choses à faire pour ne pas être une personne équilibrée :
·         Ignore ta santé
Ne dors pas suffisamment ; ne prends pas le temps de faire de l'exercice ; ne mange pas équilibré.
·         Ne prends pas le temps de voir tes amis et ta famille
Si tu veux finir mal, ne prends pas le temps de vivre, cours sans cesse d'une activité à une autre, ne prends pas le temps de te poser ni de réfléchir à ta vie.
·         Garde-toi de te développer intellectuellement
Tu révises, tu travailles pour avoir ton diplôme ou ton année. Et après ? Tu n'auras peut-être plus envie de mettre les pieds dans une bibliothèque pour y chercher un livre. La télé est si facile à regarder ! Mais les livres c’est difficile  à ouvrir !! En espérant que tu as rempli suffisamment ton réservoir intellectuel pour garder tes connaissances toute ta vie.
·         Surtout ne cherche pas à t'améliorer
Ne cherche pas à changer les circonstances de ta vie, Reste dans la même voie. Ne prends pas les occasions et ne cherche pas les possibilités offertes par la vie pour être mieux. Fais uniquement ce que tu veux, quand tu veux   


Comment gérer la colère :
Tu rates ton bus, tu renverses ton café, tu oublies un rendez-vous important… Il y a tellement d'occasions de s'énerver! Comment es-tu quand tu es en colère ?
Pour bien gérer quelque chose, il faut en savoir l'origine et le fonctionnement. La colère est une émotion nécessaire et normale …….
·         Y a-t-il une façon équilibrée de gérer la colère ?
Oui ! Il est tout à fait possible de "bien être en colère", tout comme il est possible de traiter la douleur de façon saine. Mais c'est un apprentissage que l'on ne fait malheureusement pas. Voici plusieurs étapes à suivre pour parvenir à contrôler sa colère.
1.       Prends ta respiration :
Lorsque tu es en colère, ton cœur produit de l'adrénaline qui augmente ton rythme cardiaque. En respirant profondément, tu calmeras ton rythme cardiaque et tu pourras baisser ton taux d'adrénaline.
2.       Prends du retrait par rapport à la situation dans laquelle tu es :
Si tu sens la colère monter, éloigne-toi et donne-toi l'occasion de te contrôler. Si tu es en conflit avec quelqu'un, dis-lui que tu as besoin de réfléchir et de te retirer. Le sport va t'aider à extérioriser ton trop plein d'énergie pour pouvoir faire face au problème avec la tête froide.
3.      Examine les racines de ta souffrance.
La colère doit nous servir. Nous n'avons pas à en être l'esclave. Elle nous avertit par rapport à notre fonctionnement. Il faut donc prendre le temps de s'arrêter pour voir ce qui se passe en nous, devenir plus conscient de nous-mêmes pour être plus en accord avec nous-mêmes. Il se peut aussi que tu sois enclin à la colère lorsque tu es fatigué ou stressé. Évite alors les conversations à enjeux dans ces conditions. Donne-toi le droit de dire dans ces conditions.
4.      Cherche à clarifier la situation avec l'autre
Pour désamorcer une dispute, il faut parler des faits et de ce que l'on ressent, pas de ce qu'on suppose que l'autre a voulu faire ou dire. Laisse également à l'autre l'occasion de s'expliquer, de préciser certains détails, de dire lui aussi ce qu'il ressent. Ainsi, tous les deux, vous aller progressivement clarifier la situation et résoudre le conflit.
Entraîne-toi à faire ces étapes : tu en bénéficieras toute ta vie et en feras bénéficier les autres autour de toi. Je te souhaite bonne colère !


Gérer le stress :
« Le stress est la réponse non spécifique que donne le corps à toute demande qui lui est faite ».
 Comprendre le langage de notre corps.
Mieux gérer le stress, c'est anticiper nos réactions avant de mal agir, ou en faisant subir nos émotions à notre entourage. Notre organisme a sa façon à lui de répondre au stress, souvent bien avant que nous soyons conscients de ce qui se joue en nous. La peur, la colère, l'excitation, la tension nerveuse s'expriment différemment selon les individus. Notre corps nous envoie des signaux qui, si nous apprenons à les décoder...
* Gérer ses émotions
En situation de stress, les émotions sont souvent exagérées. Il ne faut donc pas s'y fier pour prendre des décisions trop hâtives ou pour dire des choses qu'on regretterait par la suite. Souvent, nos émotions s'expriment avant notre raison, qu'elles soient refoulées à l'intérieur ou qu'elles sortent au dehors. C'est en général : "panique d'abord, réflexion ensuite !". Ce qui peut nous aider, c'est déjà de repérer notre fonctionnement et ensuite d'essayer de ne pas se laisser emballer par nos émotions.
* Eviter les deux extrêmes du fatalisme et de l’activisme.
Le fataliste dit : « Je ne peux rien faire, je dois subir les circonstances. ». C'est la paralysie, la passivité.
L'activiste proclame : « Si je redouble mes efforts, j’y arriverai ! ». On s'agite beaucoup, mais finalement il n'y a pas une bonne utilisation de l'énergie du sur-régime.
* Etre conscient de ses priorités.
Une situation de stress courante dans notre vie d'aujourd'hui est due à nos emplois du temps trop surchargés. Faisons le ménage ! Faisons des choix de priorités et laissons tomber tout ce qui est bien, serait chouette, donne envie, mais viendra nous fatiguer et nous rendre tendus à la longue.


Le Pardon :
·         Comment et pourquoi on pardonne
Les psychiatres ont  prouvé qu’il y aura deux fois moins de monde en hôpital psychiatrique si les gens se seraient pardonnés, alors pardonne, celui qu’on donne et celui qu’on reçoit et de cœur , celui qu’on donne et celui qu’on reçoit est au cœur de la santé mentale de l’homme .
On doit pardonner parce que le pardon doit être un acte d’excellence des musulmans, les chrétiens et ce qu’il faut savoir aussi que le pardon ne s’impose pas.
·         Prendre la bonne décision
Nous sommes constamment amenés à prendre des décisions.

Certaines ne portent guère à conséquence ; d’autres peuvent changer le cours de notre vie.
Prendre une décision ne doit pas être arbitrairement, mais avec conscience et  prudence.


L’estime de soi :
·         Les sentiments de valeurs
C’est quoi l’estime de soi : c’est le besoin d’être, de voir notre valeur personnelle reconnue .
Ce sentiment de valeur comporte deux éléments : le sentiment de sécurité et celui d’importance pour le sentiment de sécurité , il faut se sentir aimé et accepté comme on est quoi que l’on fasse , affiliation pour se sentir important et utile , il faut savoir quelle est notre place dans ce monde, savoir  pour quoi on est fait et se sentir compétent pour ça.
·          Comment Obtenir une bonne estime ?
C’est dans notre enfance que les sentiments  d’être aimé inconditionnellement devait être construit en arrivant  à l’âge adulte, c’est plus difficile de trouver autour de nous des personnes qui nous communiquent ce regard indulgent même s’il reconnait nos fautes. Certain trouvent une certaine force s’aimant soi même et cela les satisfait.
alors pour obtenir une bonne estime de soi il faut qu’on commence a donner l’importance au gens et bien sur vers notre soi , tout on doit être mis en coopération avec l’autre ,et que les sentiments de respect seront partagés entre les gens, et il ne faut pas attendez les sentiments des autres.  


Timidité :
Parmi les définitions de la timidité le manque d’aisance et d’assurance en société, confusion  des gents ,honte le terme timidité nous fait entrer ensemble dans le domaine des relations humaines c’est dans ce contexte qu’il se manifeste ,étant comme un handicap une souffrance parfois même comme une faute au une inadaptation aux relation interpersonnelles. 
·         D’où vient la timidité
La  timidité se construit de l’enfance , elle est liée a un manque de confiance en soi, un manque d’assurance en valeur qu’on a lorsqu’ on était des enfant chacun construit son image et son estime de lui-même a partir de ce qu’il perçoit de son environnement.
·         Comment sortir la timidité
La timidité personne ne peut faire cet apprentissage a ta place par centre voici quelques pistes pour t’aider sur ce chemin :
 Faire face : c ’est à dire se battre avec les blessures pour les guérir.
Changer la méthode avec la quelle nous interagissons dans le contexte de relations.
Apprendre à sortir de toi-même par des actions simples. 


La dépendance:
L’être humain est par définition dans la dépendance ; dépend des sa naissance de ses parents dont il détient la nourriture, les vitement , l’affection dépendante de l’air qu’il respire,  de l’eau ,de  l’environnement, il y a cependant des dépendances  qui nous permettent d’être vivant et heureux et d’autre qui tuent ,elles sont celles qui mènent vers notre mort intérieure au physique et elle sont celles qui mènent vers la vie ?
L’être humain ne peut se faire tout seul 
Il a besoin du regard de l’autre et de ça présence c’est pour sentir exister,  l’existence de votre soi. 


Bonheur et bien-être:
·      comment atteindre le bonheur ?
chacun entre nous sache le sens du bonheur et chacun  a sa propre méthode  pour atteindre le bonheur mais il y a des fois où le bonheur c’est l’absence des malheurs, s’il n y a pas de problèmes alors je dis ce que je suis, je me sens très bien !!! et d’autre cote c’est la satisfaction des désirs ,atteindre les objectifs au les roulier. 


Conclusion :
La route est très longue pour atteindre la maitrise de soi, mais les gens ont essayé de marquer les stations importantes et démontrer les méthodes et les clés principales pour que nous pouvons atteindre le langage adéquat avec le quel nous pouvons interagir facilement avec notre soi.